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Sylvain haran
Un parcours atypique et riche en inspiration
Sylvain Haran intègre très jeune le monde de la restauration.
A l’issue de ses études au Lycée Hotelier de Biarritz, il prend le large, à la découverte du « Monde » et de la gastronomie.
Il parcourt ainsi une partie de l’Europe, des pays d’Afrique comme le Burundi, le Maroc, puis l’Australie.
Ce long voyage, prends des allures de quête spirituelle. Les échanges humains et interculturels l’inspirent et développent son sens de la créativité.
De retour en France, il vit quelques expériences mémorables, en tant que Chef dans des restaurants gastronomiques.
Il pose enfin ses valises sur sa terre natale, le Pays Basque, où il vit d’autres aventures dans la restauration en tant que patron (Bar, Pizzeria, Restaurant à tapas)
Son évolution dans le milieu de la restauration aura duré 18 ans.
L’artisanat est un état d’esprit qui se perpétue depuis des générations.
Dans la famille Haran, on retrouve un tailleur de pierre, un ébéniste et un papa bijoutier joaillier. Sylvain est de fait issu d’un environnement où la création est innée, vectrice de valeurs.
Passionné par la sculpture sur bois depuis son adolescence, Sylvain va consacrer sa nouvelle vie professionnelle à la menuiserie et faire naître l’entreprise CRE’HAR.
Le bois, les arbres, un amour inconditionnel
L’éducation de Sylvain est fondée sur la transmission du savoir, du respect de l’humain, des animaux et de la nature. C’est de cette symbiose avec la nature, que Sylvain prend conscience de la force des éléments qui l’entourent, dès le plus jeune âge.
Papa de 2 garçons, la transmission de ces valeurs ne cesse de s’infuser chez les Haran.
Le bois, les arbres représentent une source d’inspiration. J’aime être en contact avec cette matière organique car elle fait appel à tous mes sens, c’est presque spirituel comme relation.
Sylvain HARAN
Une passion peut en cacher une autre…
A ses heures perdues, il n’hésite pas à s’évader en gravissant le splendide Baïgura, son terrain de jeu favori. Cette montagne qui culmine à 900 mètres d’altitude, ne suffira pas à lui faire prendre de la hauteur pour côtoyer les éléments naturels.
C’est avec sa voile de parapente qu’il poursuit son ascension, pour flirter avec les forces de la nature.